Moment fugace

Texte fictif.

Dans l'ascenseur, son regard a croisé le mien. Le jeune homme était légèrement efféminé. Nous avions une vingtaine d'années de différence. Il rentrait du lycée. Il a souri, a baissé les yeux vers ma braguette. Il portait un jean trop large et un t-shirt ample. Sa peau était blanche et délicate. Je lui ai rendu son sourire et j'ai ôté avec frénésie son t-shirt : il prit peur d'être entre mes mains mais il ne me repoussa pas. Il ne me connaissait pas. Son torse était fin, son ventre plat et ses tétons juvéniles. Je me suis accroupi devant lui et j'ai serré ses hanches.

Il fut surpris. J'ai déboutonné son jean et je l'ai baissé. Ses cuisses étaient fines et imberbes. J'ai baissé son slip blanc et pris ses deux fesses dans mes deux mains. Il s'est laissé faire. Il en crevait d'envie. Je me suis mis à sucer son sexe rapidement mais efficacement. Son sperme coula le long de mon visage. Je m'essuyai. Je l'essuyai et l'accroupis à son tour alors que je me redressai. Je m'amusai de voir que sa bouche maladroite n'était pas si profonde.

Je l'essuyai et le rhabillai. Nous arrivâmes à son étage, il sortit sans rien dire. Il connaissait le goût de mon sperme. Je lui souris.

Entreprenant

Ce texte est fictif et, bien sûr, récréatif.

J'exerçais la fonction de médecin scolaire depuis 5 ans. J'avais 35 et une solide réputation au sein du lycée dans lequel j'exerçais. Si les filles n'avaient pas grand chose à craindre de moi, il n'était pas question qu'un garçon sorte de mon cabinet sans m'avoir montré la couleur de ses testicules.

Pour ces messieurs, il n'était pas rare que je fasse passer l'ensemble de l'examen dans une nudité complète. Évidemment cela créait parfois une gène, quoique plus rarement que ce que l'on pouvait croire. Mais la nudité des jeunes mâles n'était pas une simple caresse pour les yeux, c'était une façon de les mettre face à leur fragilité à un âge où ils ne cessent de jouer les mâles dominants.

C'est ainsi que, culs nus, ils me récitaient l'alphabet d'un oeil,ouvraient grand leurs bouches ou encore se penchaient en avant pour me montrer la continuité de leur dos. Peu de choses m'échappaient et ils en avaient bien conscience.

Mais un jour, je fus pris à mon propre jeu. Un bel adolescent de 16 ans, sportif et élancés, dont la frange cachait un regard taquin, pénétra dans mon bureau armé d'un grand sourire.

Je lui rendis volontiers et, sans attendre, posa quelques questions d'ordre intime. Frondeur, il m'apprit durant cette échange que les hommes de mon âge ne le laissaient pas indifférents. Loin d'être intimidé, je m'amusai à surenchérir.

- Et tu te masturbes souvent ?
- Oui plusieurs fois dans la journée, sourit-il conscient d'être sur le terrain de la provocation.
- Ou ça, à l'école ?
- Parfois, dans les toilettes...
- Tu éjacules ?
- Oui...

Le gamin me faisait bander.

- Je vais t'examiner.
- Je vais avoir droit à un examen complet ?
- Oui comme tes camarades.
- Oui il paraît. Enfin, les garçons semblent plus surveillés que les filles...
- Oui c'est vrai. Déshabille toi.
- Entièrement ?
- Oui

Il ne se déshabilla pas, il me fit un strip-tease. Face à moi, il déboutonna langoureusement sa chemise. Son torse était fin et noueux. Quelques poils remontaient au nombril. Il déboutonna son jean et baissa dans le même mouvement pantalon et slip.

Une queue décalottée se dressa fièrement face à moi. Slip et jean au cheville, il s'approcha de moi.

- Cela vous suffit-il pour m'examiner ?
- Oui.

L'élève m'offrit alors la virginité de sa bouche et son cul, la saveur de son gland aqueux, il s'étonna de la puissance de mon corps. Une fois l'examen terminé, il retourna en cours. Je gardai son slip en souvenir.