Moment fugace

Texte fictif.

Dans l'ascenseur, son regard a croisé le mien. Le jeune homme était légèrement efféminé. Nous avions une vingtaine d'années de différence. Il rentrait du lycée. Il a souri, a baissé les yeux vers ma braguette. Il portait un jean trop large et un t-shirt ample. Sa peau était blanche et délicate. Je lui ai rendu son sourire et j'ai ôté avec frénésie son t-shirt : il prit peur d'être entre mes mains mais il ne me repoussa pas. Il ne me connaissait pas. Son torse était fin, son ventre plat et ses tétons juvéniles. Je me suis accroupi devant lui et j'ai serré ses hanches.

Il fut surpris. J'ai déboutonné son jean et je l'ai baissé. Ses cuisses étaient fines et imberbes. J'ai baissé son slip blanc et pris ses deux fesses dans mes deux mains. Il s'est laissé faire. Il en crevait d'envie. Je me suis mis à sucer son sexe rapidement mais efficacement. Son sperme coula le long de mon visage. Je m'essuyai. Je l'essuyai et l'accroupis à son tour alors que je me redressai. Je m'amusai de voir que sa bouche maladroite n'était pas si profonde.

Je l'essuyai et le rhabillai. Nous arrivâmes à son étage, il sortit sans rien dire. Il connaissait le goût de mon sperme. Je lui souris.

Entreprenant

Ce texte est fictif et, bien sûr, récréatif.

J'exerçais la fonction de médecin scolaire depuis 5 ans. J'avais 35 et une solide réputation au sein du lycée dans lequel j'exerçais. Si les filles n'avaient pas grand chose à craindre de moi, il n'était pas question qu'un garçon sorte de mon cabinet sans m'avoir montré la couleur de ses testicules.

Pour ces messieurs, il n'était pas rare que je fasse passer l'ensemble de l'examen dans une nudité complète. Évidemment cela créait parfois une gène, quoique plus rarement que ce que l'on pouvait croire. Mais la nudité des jeunes mâles n'était pas une simple caresse pour les yeux, c'était une façon de les mettre face à leur fragilité à un âge où ils ne cessent de jouer les mâles dominants.

C'est ainsi que, culs nus, ils me récitaient l'alphabet d'un oeil,ouvraient grand leurs bouches ou encore se penchaient en avant pour me montrer la continuité de leur dos. Peu de choses m'échappaient et ils en avaient bien conscience.

Mais un jour, je fus pris à mon propre jeu. Un bel adolescent de 16 ans, sportif et élancés, dont la frange cachait un regard taquin, pénétra dans mon bureau armé d'un grand sourire.

Je lui rendis volontiers et, sans attendre, posa quelques questions d'ordre intime. Frondeur, il m'apprit durant cette échange que les hommes de mon âge ne le laissaient pas indifférents. Loin d'être intimidé, je m'amusai à surenchérir.

- Et tu te masturbes souvent ?
- Oui plusieurs fois dans la journée, sourit-il conscient d'être sur le terrain de la provocation.
- Ou ça, à l'école ?
- Parfois, dans les toilettes...
- Tu éjacules ?
- Oui...

Le gamin me faisait bander.

- Je vais t'examiner.
- Je vais avoir droit à un examen complet ?
- Oui comme tes camarades.
- Oui il paraît. Enfin, les garçons semblent plus surveillés que les filles...
- Oui c'est vrai. Déshabille toi.
- Entièrement ?
- Oui

Il ne se déshabilla pas, il me fit un strip-tease. Face à moi, il déboutonna langoureusement sa chemise. Son torse était fin et noueux. Quelques poils remontaient au nombril. Il déboutonna son jean et baissa dans le même mouvement pantalon et slip.

Une queue décalottée se dressa fièrement face à moi. Slip et jean au cheville, il s'approcha de moi.

- Cela vous suffit-il pour m'examiner ?
- Oui.

L'élève m'offrit alors la virginité de sa bouche et son cul, la saveur de son gland aqueux, il s'étonna de la puissance de mon corps. Une fois l'examen terminé, il retourna en cours. Je gardai son slip en souvenir.

Insolente insolation



Ce texte est écrit à titre purement récréatif. Il n'a pas pour but d'encourager les conduites sexuelles non désirées, contraintes ou à risque.

En plein cœur du mois d'août, Paris frôle souvent les 30 degrés en journée. Le calme des rues rend la ville plus accueillante, les embouteillages se font plus rares.

Mathieu et Raphaël font partis des pompiers de Paris depuis une dizaine d'année. A 28 ans, Raphaël est cependant moins expérimenté que son collègue qui est passé par différents métiers auparavant. Des années d'entraînement physique avaient transformé leurs corps en un outil puissant prêt à servir la France.

En ce mercredi 11 août, ils pourissaient dans leur caserne du 16ème arrondissement. Cela ne leur plaisait pas car ils se sentaient inutiles. Même de bon matin, ils faisaient trop chaud pour aller courir. D'autre part, l'unité était presque vidée de ses effectifs. Certains étaient en vacances. Vu le manque d'activité, d'autres avaient trouvé un prétexte pour s'absenter. Cette situation n'était pas si rare en été, tout le monde savait que les casernes arrivaient à se coordonner en cas de besoin et que personne n'était absolument indispensable.

A 15h12, le standard central les sollicita pour une intervention. Raphaël décrocha le téléphone en l'absence de la secrétaire.

- Bonjour, jeune homme 16-18 ans faisant un malaise avenue Paul Doumer, niveau de la station service. Probable insolation. Intervention demandée.
- Ok, on envoie une équipe.

La formule fit sourire Raphaël. L'équipe, c'était lui et Mathieu. Il avait même fallu demander à Wolfo de conduire le véhicule d'intervention, c'était un semi-volontaire d'origine espagnole habituellement chargé de la maintenance technique de la caserne.

Raphaël et Mathieu se déshabillèrent dans le hall d'entrée pour enfiler leur combinaison une-pièce. A cette occasion, il conservait habituellement leurs t-shirt mais déboutonnait et ôtait leur pantalon. Ils se retrouvaient en slip au regard de tous.

Mais cela ne les dérangeait pas. Le corps est l'outil de travail du pompier. Leurs métiers les poussent à ne pas réellement le dissimuler. Dans le cadre du service, des visites médicales, ou plus fréquemment des massages thérapeutiques, sont proposés, à l'occasion desquelles la nudité intégrale est de rigueur. Mathieu et Raphaël aimaient ces moments. Ils n'avaient pas à rougir de leurs corps robustes et musclés.

Au début de sa carrière, vers 20 ans, Raphaël avait eu un peu de mal avec cette absence forcée d'intimité. Mais au fil des années, il avait appris à lâcher prise, voire à prendre un certain plaisir à s'exhiber à la demande. Il savait que si la majeure partie des hommes du milieu était hétérosexuelle, bon nombre d'entre eux appréciait de voir le corps nu d'un homme lorsque celui-ci était en pleine force de l'âge.

Après 5 ans d'expérience, Raphaël intégra la caserne de Meaux. Il avait 25 ans, en faisait 20, et se retrouvait le plus jeune de l'équipe. C'est dans ce lieu qu'il découvrit que la réputation sulfureuse des pompiers n'était pas un mensonge. Lors de sa première semaine, on lui fit comprendre que son statut de benjamin l'obligeait à obéir aux désirs ponctuels des uns et des autres. En paix avec son propre corps, il offrit quelques fellations à certains de ses collègues qu'il avait lui-même sélectionnés pour leur beauté. Il refusa des rapports avec des pompiers qu'il trouvait laids. Cela finit par se savoir et au bout de quelques semaines, on lui proposa de mettre un terme à ce bizutage en choisissant de se faire prendre par deux chefs d'équipe devant les 17 sapeurs de la caserne. Il accepta. Cela se déroula le 12 décembre. Raphaël s'offrit si bien à ses deux amants que de nombreux garçons s'étaient masturbé sans retenu. Grâce à quelques photos et films qui circulaient au sein des casernes, une réputation nationale s'était construite autour de lui.

Raphaël ne gardait pas un mauvais souvenir de ses évènements. Il était en paix avec lui-même et avait élargi ses appétits sexuels. Il avait un amant de temps en temps mais ne pratiquait plus rien au sein de la caserne. Seul le regard lubrique d'un médecin ou d'un collègue lui rappelait son statut passé.

Désormais en slip et t-shirt, Raphaël était sur le point d'enfiler sa combinaison. Il était déjà concentré sur l'intervention à venir.

Mathieu ne manquait pas l'occasion pour admirer les cuisses légèrement velues de son collègue et l'imposante paire de couilles que l'on devinait sous le tissu.

- Garde simplement ton slip sous la combi, tu vas crever de chaud, conseilla paternellement Mathieu.

Raphaël trouva l'idée bonne et se trouva quelques instants avec le seul sous-vêtement sur lui. Mathieu savourait sa musculature, la forme rebondie de ses fesses et son visage toujours juvénile.

Les deux hommes montèrent à bord du large véhicule. Ils ne considéraient pas cette intervention comme à haut risque mais prenaient les choses avec sérieux.

Mathieu fut étonné de voir que Paris était vide. Sur les lieux de l'incident, seul le responsable de la station service était à proximité. C'était un homme petit et moustachu d'origine nord-africaine d'une cinquantaine d'années. Il expliqua que le jeune garçon n'avait pas eu assez pour acheter une boisson et qu'il ne tenait plus vraiment sur ces jambes en sortant du magasin.

L'adolescent était assis sur le trottoir, il n'avait pas mauvaise mine. Les pompiers l'interpellèrent. Comme toute réponse, il leva la tête vers eux. Il bredouilla qu'il s'appelait Jonathan, qu'il n'habitait pas loin et qu'il fallait juste le raccompagner chez lui.

Mathieu comme Raphaël furent interpellés par la beauté du garçon. De la sueur perlait sur son visage glabre et fin. Il avait un large front et des yeux bleus en amande qui affichaient une certaine maturité derrière le voile de l'enfance. Il était brun, assez mince et portait un bermuda beige, de vieilles baskets et un t-shirt noir. En position assise, les deux pompiers pouvaient voir le boxer blanc à bande noir qui masquait ses fesses.

Ils l'aidèrent à se relever en le prenant par les épaules.

- Viens mon grand, on va t'allonger dans le camion et bien s'occuper de toi.

Raphaël pensa que cette phrase n'était pas innocente. Elle eut le don de l'exciter sous sa combinaison.

Le camion démarra. Le garçon était allongé, les yeux mi-clos, peu attentif à ce qu'il se passait.

- Tu fais le diagnostique, dit Mathieu.
- Adolescent de 16-18 ans, environ 65kg...
- Attends...

Mathieu plongea sa main dans le bermuda du garçon et en sortit un portefeuille.

- 16 ans.
- Adolescent de 16 ans, 65 kg...

Il souleva la paupière droite de la victime.

- Pupille réactive, tension un peu basse, ne fixe pas son attention, pas de signe clinique grave... Malaise probablement dû à la chaleur.
- Rien à ajouter, on l'emmène à l'hôpital... Déshabille-le...
- On le déshabille ? C'est nécessaire ?
- Il a chaud je te rappelle... C'est pas déconseillé...
- Ok.

Raphaël était un peu gêné. Ca n'était pas nécessaire. Il ne voulait pas que cela tourne mal. Il rajouta pour se donner bonne conscience :

- On le prévient ? Il est pas totalement inconscient...

Mathieu prit le garçon par le menton et dit avec ironie.

- On va ôter tes vêtements... Tu seras plus à l'aise, tu as chaud. On va voir si tu as tout ce qu'il faut...

Mathieu se tourna vers son collègue amusé.

- Il me fait bander ce ptit...
- Sois pro... Dit Raphaël.
- On est pro ! On est pas hors des clous !

Mathieu se déplaça vers les pieds du garçon et ôta les chaussures et les chaussettes sans grand ménagement.

- Occupe-toi de son t-shirt.

Raphaël essaya de faire coopérer le garçon pour que la tache soit plus simple. Ce dernier ne comprenait pas vraiment mais se laissait faire. Torse nu, il paraissait plus mince. Raphaël se rappelait de ce moment de la vie où le corps se forme doucement.

La peau du garçon était légèrement brunie, comme s'il était allé à la plage il y a peu. Pendant que Raphaël mettait le t-shirt humidifié par la sueur en boule, Mathieu déboutonna le bermuda et le fit glisser jusqu'en bas.

Le corps du garçon paraissait fragile au milieu des deux hommes. La fraîcheur qu'avait provoqué cet effeuillage sembla apaisé un peu le garçon. Les deux hommes n'étaient désormais plus séparés du sexe de la victime que par ce boxer serré et fin. La queue molle du garçon penchait sur le côté droit et les couilles étaient remontées sans doute du fait du choc.

Mathieu se pencha vers l'oreille du garçon et susurra :

- On va aussi t'enlever ton slip... Tu seras plus à l'aise.

Raphaël ouvrit grand les yeux. L'adolescent se contenta de gémir, le regard embrumi.

- Il peut reprendre conscience rapidement, dit Raphaël craintif mais excité par de telles initiatives.

Tout en réconfortant la victime, il glissa le boxer légèrement pour découvrir le membre.

- Voila... Bon garçon...

Il se tourna vers Raphaël.

- Il est déjà bien doté et bien poilu...

Effectivement, il était surprenant de voir que le pubis du garçon était assez poilu. Une queue y était endormie à la base de laquelle deux testicules ronds et volumineux pendaient.

Raphaël restait bouche bée, hypnotisé par l'érotisme de la situation.

Soudain, le conducteur se tourna et vit l'adolescent à poil.

- Ca c'est du secourisme, fit-il amusé.
- C'est purement médical ! Dit Mathieu d'un air entendu.

Mathieu se pencha au-dessus du ventre de l'adolescent. Il ouvrit la bouche. Une longue traînée de salive coula sur le bas ventre.

- Tu sais que tu as une très jolie queue, dit Mathieu à l'oreille du garçon dans les vapes. On aimerait te voir bander...

Du bout du doigt, il étala aussi largement qu'il put le liquide chaud et visqueux, provoquant quelques gémissements chez le garçon. Il décalotta ensuite le gland du garçon qui écarta légèrement les cuisses.

- Branle-toi Raph', T'en crève d'envie... Il va pas se réveiller, il est dans les vapes pour un bon quart d’heure. On a vu ça mille fois...

Raphaël était effectivement très excité. Il se mit coté gauche pour ne pas être vu par le conducteur. Il dézippa sa combinaison jusqu'à l'entrejambe. Torse nu, il passa hors du slip ses couilles et son sexe rigide. Mathieu découvrait pour la première fois le sexe bandant et légèrement courbé vers le haut de Raphaël. Raphaël commençait à se branler doucement, comme un petit garçon qu'il ne fallait pas surprendre.

Mathieu continua son jeu. Il saliva sur le téton du garçon qu'il massa longuement jusqu'à le faire pointer. Celui-ci était brun et entouré d'un léger duvet circulaire.

- Tu crois qu'il va se rendre compte si tu lui caresses la queue ?
- Sur le moment sûrement...

Mathieu prit un tube de lubrifiant initialement utilisé pour entuber les malades. Il étala le gel sur le torse du garçon. Puis il continua ses caresses sur les épaules, les bras, les cuisses et les mollets, si bien qu'au bout de quelques instants, le garçon luisait de toute part. Il finit par exécuter des mouvements de va-et-vients sur le sexe du garçon. Bien qu'il ne fut pas immédiatement réactif, ce dernier finit par offrir sa plus belle érection aux deux pompiers.

Même à moitié-inconscient, le garçon gémissait de telles caresses. Raphaël ôta complètement sa combinaison. A la demande de Mathieu, il s'enduisit de gel.

- Gare-toi un peu, demanda Mathieu au conducteur qui avait compris la situation et se rinçait désormais l’œil.

Mathieu dit à Raphaël qu'il pouvait glisser sa queue dans la bouche du garçon.

La bouche ne s'ouvrit pas tout de suite, Raphaël dut utiliser ses doigts pour ouvrir l'orifice. Mathieu et le conducteur admiraient le mouvement du bassin de Raphaël qui pénétrait désormais la victime par la bouche. L’adolescent avait la bouche sèche mais Raphaël mouillait d’excitation. La substance visqueuse qui enduit progressivement l’intérieur de la bouche facilita le mouvement.

Après quelques instants et alors que Mathieu ne cessait de branler le jeune garçon allongé, Raphaël se répandit dans la bouche du jeune homme. Du sperme coula le long de sa gorge et sur son visage mais la plupart des jets finir au fond du ventre du garçon.

Le conducteur se répandit sur le torse du garçon. Il avait sorti sa queue et se caressait discrètement depuis de longues minutes.

Toutes ces manœuvres avaient souillé d'une façon grossière le corps innocent du garçon. On s'attela à l'essuyer de longs instants avec des serviettes. Ces mêmes serviettes servirent à recouvrir le sexe du garçon alors que celui-ci reprenait doucement toute sa conscience. Le camion redémarra. Raphaël se rhabilla.

- Ou-suis-je ? Dit le garçon.

Sa voix venait de muer. Elle était douce.

- On t'emmène à l'hôpital, tu as fait une insolation. On t'a déshabillé comme le veut la procédure.
- D'accord...

Il s'arrêta, réfléchit et regarda les deux hommes.

- J'ai fait un rêve un peu étrange...
- Oui... On a vu... répondit Mathieu en lançant un regard vers la serviette sous laquelle était dissimulé le sexe encore rigide du garçon.

Le garçon rougit terriblement. Mathieu se contenta de lui faire un sourire. Ce sourire voulait dire : tu en as une belle, bien grosse pour ton âge et tu nous as offert un beau spectacle.

- Essaye de te rendormir maintenant... On s'occupe de toi. Raphaël, donne-moi l'aiguille.

Raphaël ne comprit pas tout de suite. Mathieu administra un anesthésiant léger et totalement superflu au garçon.

Au bout de quelques instants, le garçon replongea dans une semi-inconscience. Mathieu se déshabilla entièrement, laissant surgir un sexe endurci dont la taille impressionna même Raphaël.

Mathieu était devenu comme animal. Il balança négligemment les serviettes qui couvraient le garçon, et le tourna sur le ventre. Sans pudeur, il écarta violemment ses deux fesses rondes. Raphaël avait toujours pensé que l'anus était la partie la plus intime et la plus secrète du corps. Voici que celui de l'adolescent était observé et caressé sur toutes les coutures. Il était étroit, sans poil et plissé à trois endroits.

Mathieu se pencha vers l'oreille de Jonathan.

- On va finir ton rêve. Je vais t'inonder les entrailles.

Tout en branlant le sexe du jeune garçon, il travailla le jeune cul avec ses doigts puissants. Tout son arrière-train, fesses, trous et base du sexe compris, avait été inondé de gel lubrifiant. Il était évident qu'un tel engin pouvait blesser le garçon si des précautions n'étaient pas prises.

La victime éjacula sur la civière avant que Mathieu n'eut même pu le pénétrer. Mais finalement, après de multiples essais, le cercle de chair finit par céder sous la pression du gland épais. Mathieu fit trembler le camion par ses coups de boutoirs. Ses gémissements étaient roques et animal. L'adolescent ne paraissait pas particulièrement gêné de cette intrusion qui, comme l’observait les témoins, élargissait pourtant considérablement son orifice. L'anesthésie faisait effet. On pouvait même voir un léger sourire traverser le jeune visage.

Un ultime coup entre les reins, beaucoup plus fort que les autres, permit au sperme chaud de passer du corps de Mathieu à celui de Jonathan. Mathieu s'extasia.

Avant d'arriver à l'hôpital, les trois hommes lavèrent le corps du garçon et attendirent que l'anesthésie passe.

Il nettoyèrent également le camion pour effacer toute trace. Pour brouiller le témoignage de Jonathan, ils le rhabillèrent de sorte que ce dernier ne se souvint de rien d'autre qu'un rêve sur lequel il ne souhaitait pas s'étaler.

Rencontre initiatique à Paris

Ce texte est écrit à titre purement récréatif. Il n'a pas pour but d'encourager les conduites sexuelles non désirées, contraintes ou à risque.

Eliott était un grand gaillard d'une trentaine d'années. Il n'avait pas de travail depuis maintenant plusieurs mois et était d'une humeur morne. Il avait passé la soirée dans un café à contempler son verre de whisky au milieu des volutes de fumée. Pourtant, il ne fumait pas et faisait très attention à son apparence physique. Se rendant chaque semaine à la piscine, il avait fini par acquérir un corps musclé et longiligne dont il était fier.

Eliott s'amusait avec les Parisiens dont il scrutait les singeries dans le métro. Ce soir-là, le métro était presque vide. Deux adolescents entrèrent dans la rame avec un pack de bières à la main. Ils avaient déjà un peu bu et s'amusaient d'un rien.

Le plus jeune des deux garçons s'est assis à côté d'Eliott. Son visage avait les traits délicats et naïfs de la jeunesse. Il avait des cheveux bruns mi-longs ébouriffés et portait une large chemise rouge ouverte sur le torse. Cela laissait entrevoir une poitrine imberbe et fragile. Comme il appuyait ses avant-bras sur ses genoux, Eliott, de sa place, eut tout loisir de contempler deux tétons légèrement saillants et un ventre plat et blanc.

Les deux garçons parlaient d'un bar de l'autre côté de Paris dont ils s'étaient fait jeter. Cela ne semblait pas les gêner plus que ça.

L'autre garçon était grand et longiligne. Son visage était plus dur. Il avait des yeux noirs profonds et des cheveux mi-longs comme son ami. Il portait, comme bon nombre, de ses congénères un jean qui lui tombait presque à mi-fesses. Eliott s'était toujours demandé comment les jeunes mecs faisaient pour que leurs frocs ne leur tombent pas aux chevilles.

Il contemplait d'ailleurs longuement la forme de ce cul offert à la vue de tous, simplement dissimulé par le mince tissu d'un boxer gris moulant.

Le jeune mec assis s'appelait Flo et son pote Max.

- Faut qu'on trouve un endroit pour faire la fête, je sais pas n'importe où... Lança Flo.

Pour une raison indéterminée, le hasard sûrement, Max répondit en pointant Eliott du doigt :

- On a qu'à aller chez lui !

Sa voix était ralentie par l'alcool. Flo se contenta de rire bêtement mais il était un peu gêné.

- Si vous voulez, dit calmement Eliott. Mais j'habite à Vincennes.
- Eh ben c'est sur la ligne...
- Mais attends, si ça se trouve, t'as pas de bière !
- Si j'ai de l'alcool.
- Cool !
- Mais je gagne quoi moi dans l'histoire ? Deux ados chez moi, tu parles d'un cadeau.
- Ben je sais pas ! Faut être solidaire entre jeunes !
- La solidarité... On fait rien avec ça.

Eliott sortit deux billets de 100 euros qu'il tendit aux deux inconnus.

- Vous m'excitez tous les deux avec votre cul à moitié à l'air. J'aime ça et c'est pour ça que je vous paye. Vous voulez vous amuser à trois ? On va s'amuser à trois chez moi et vous gagnerez 5 fois la mise.

Les deux garçons restèrent bouche-bée. Heureux d'avoir empoché un billet en trois secondes mais atterrés par la proposition qui venait de leur être faite.

Ils rirent puis bredouillèrent en se coupant la parole :

- Mais... Toi tu y vas pas par quatre chemins...
- On a des têtes de pédés ou quoi ?
- Les gars, dit Eliott, prenez vos responsabilités trois secondes. Je vous demande pas une réponse de gamin acnéique sorti de l'école. Dites-moi juste si ça vous tente d'empocher 500 biftons en vous amusant ou pas. C'est simple.

Les deux mecs se regardèrent et rigolèrent.

- Ouais, on vient avec toi ! Ca va être marrant...

Eliott hocha la tête. Le reste du trajet fut interrompu par les blagues plus ou moins potaches des deux garçons désormais pris dans les filets de l'homme.

- Et il consiste en quoi ton jeu ? Dit Flo.
- C'est des jeux de garçons. Il faut juste en avoir dans le slip. Ca restera gentil...
- Tu nous toucheras pas pour 500 biftons, on te prévient.

Max sortit discrètement de son jean une bombe lacrymogène.

- J'en avais pas l'intention, je veux juste...

Il baissa sèchement mais avec précision le jean et le caleçon de Max, ce qui eut pour effet de découvrir le haut de son petit cul blanc. Surpris, Max se recouvrit maladroitement et se contenta de rire nerveusement.

- ... En voir un peu plus...

Arrivé à l'appartement, Eliott offrit deux bières aux garçons. L'appartement était mal rangé mais assez grand. Les deux garçons s'étalèrent sur le canapé.

- Tu sais qu'on est pas des putes ? Dit Florent qui paraissait à l'aise.
- Qui a dit ça ?
- Tu as l'air de vouloir nous payer pour faire des trucs...
- Oui, ça c'est vrai. Vous avez quel âge au fait ?
- 16 et 17.
- On va commencer soft alors.

Eliott inséra un dvd dans le lecteur. La télé s'alluma sur un trio de jeunes mecs. L'un se faisait pénétrer et suçait le troisième.

- Rien à foutre de ce qu'ils peuvent faire ! Dit Max.

Flo semblait lui un peu plus dégoûté. Il n'avait jamais vu de mecs baiser ensemble.

- Florent, t'es avec nous ?
- Ouais, c'est dégueulasse... Je suis pas homo.

Il but une gorgée de bière.

Eliott tendit un billet de 100 euros à chacun des deux garçons.

- C'est pourquoi ? Dit Max, tu payes facile toi !
- Je vais me déssapper, je vous paye pour que vous me regardiez.
- Vas-y mec, te gêne pas !

Les deux mecs éclatèrent de rire et sifflaient lorsqu'Eliott ôta soigneusement ses vêtements.

Après s'être mis pieds nus, L'homme ôta son t-shirt. Les deux garçons ne s'imaginèrent pas découvrir un corps si bien taillé. Des épaules larges et des abdos sculptaient un corps sans poil et sans réelle imperfection.

Eliott déboutonna et baissa son jean et laissa apparaître un slip uniforme.

Les deux garçons ne manquèrent pas de voir que son sexe parfaitement endurci n'allait pas longtemps rester dans ce petit morceau de tissu. Le plus calmement du monde, Eliott ôta son slip et laissa fatalement tendre son membre de 18 cm. Ce dernier était couronné d'un gland rougi par l'excitation.

Les deux jeunes garçons éclatèrent à nouveau de rire devant une si naturelle impudeur.

- Tu cache bien ton jeu mon salaud, dit Max.
- Mais ça nous excite pas tu sais... Poursuivit Florent.

Eliott s'approcha des deux jeunes gens et s'assit sur le sofa à coté deux, le sexe rigide.

- Pour 100 euros de plus, on fait le concours de celui qui a la plus petite.

Florent se leva brusquement et sortit un couteau à cran d'arrêt de sa poche.

- Bon, ça suffit les conneries ! Ton film de cul, ta queue, on en a rien à foutre ! Par contre tu as l'air d'avoir des biftons. Alors tu nous les files si tu veux pas que je t'ouvre une couille !

Ce discours cadencé n'impressionna nullement Eliott. Florent transpirait et était à la limite de trembler.

- Quelle virilité, dit-il, ça me plait ! Dit Eliott avec provocation.
- Ta gueule !
- OK...

Max était dépassé par la situation. Il n'avait jamais vu son pote faire ça et ne s'y attendait pas.

Eliott se déplaça nu vers une petite commode derrière laquelle était dissimulé un pistolet automatique. Il fit mine d'ouvrir la commode et brandit l'arme devant les garçons.

- J'ai dit, on joue à qui a la plus petite... Mais visiblement, ça ne vous plait pas d'être payé. Ca me va...

Eliott se rapprocha de Florent. Max était toujours assis. Il était inquiet mais les effets de l'alcool dédramatisait violemment la situation.

Eliott se plaça derrière Florent et pointa l'arme sous son menton. Le garçon sentait l'alcool et un peu la sueur.

- Pose ton petit couteau d'écolier, demanda Eliott en souriant.

Florent, tremblant légèrement de peur, fit immédiatement tomber l'opinel au sol. Il sentait le sexe dur d'Eliott contre sa fesse.

- Exceptionnellement, comme tu ne veux pas te déshabiller, c'est moi qui vais le faire.

Il défit un à un les boutons de la chemise de Florent. Quand ceux-ci furent tous libérer, il passa sa large main sur le torse nu du garçon qui frémit.

Sa main passa de la poitrine au bas du ventre et arriva au bouton du jean trop large. Il ouvrit délicatement le jean qui tomba immédiatement au cuisse du garçon. Max regardait incrédule la scène.

- Enlève, dit Eliott au creux de l'oreille de Florent qui libéra le jean en levant un pied, puis l'autre.

Le garçon ne portait plus que son boxer et ses chaussettes. Un large miroir faisait face aux protagonistes au-dessus de la cheminée. Cela permit à Eliott de profiter de ce corps fragile qui se trouvait désormais entre ses doigts. Il plongea sans état d'âme sa main dans le boxer pour sentir sous ses doigts le sexe de Florent.

Puis Eliott eut un remord. Il ne fallait pas les toucher. Pas encore. Il baissa le boxer et vit le sexe de Florent.

- Tu l'avais déjà vu, sa queue, demanda Eliott à Max.
- Non...
- Réponds pas ! Fit Florent.
- Il est bien doté... Il faudrait qu'elle durcisse un peu...

Son sexe était plus long que fin et peu poilu. Eliott s'était demandé s'il s'était épilé puis avait rejeté l'hypothèse, se souvenant de l'âge des deux jeunes gens. Ses couilles tombantes était un des rares vrais signe de la virilité de Florent.

- A toi, dit Eliott en regardant Max. Ou alors tu veux que je te déshabille comme ton copain...
- On sera payé ? Demanda Max.
- Toi oui, ton pote qui pense qu'à mon fric, on verra...

Max se déssapa sans se faire prier. Avec rapidité comme pour en finir avec ce jeu humiliant.

Max était définitivement plus musclé que son copain. Il avait des bras et des épaules plus larges. Davantage de poils venaient ça et la dessinaient son corps. Ses jambes étaient même bien velues.

Lorsqu'il baissa son boxer, un sexe de bonne taille apparut. Eliott devinait qu'il ne s'agissait pas d'une queue totalement au repos, sans doute un tout début d'érection. Florent pensait simplement avoir un sexe plus petit que ses "camarades de jeu".

- Bon voila, t'es content ? Dit Max.
- Content ? Oui, regarde comme vous me faites bander...
- File le fric...
- C'est pas fini, j'ai dit que c'était le concours de celui qui a la plus petite... C'est Florent qui a gagné... Il a droit a un gage...

Sans lâcher son flingue, Eliott alla chercher deux paires de menottes dans la penderie. Il attacha Max à la solide barre qui permettait aux spots électriques d'éclairer l'appartement. La barre était haute de telle sorte que Max touchait la moquette avec le seul bout de ses doigts de pieds.

Eliott admira quelques instants le corps ainsi pendu. Il le caressa longuement, ne manquant pas de passer sa main au niveau des couilles et de la raie du jeune cul désormais sans défense. Max se contenta de fermer les yeux.

- Détends-toi, dit Eliott au creux de l'oreille de Max.

Reprenant ses esprits, Eliott pointa ensuite son pistolet vers Florent. L'excitation provoquée par Max allait être utilisée pour le gage de Florent qu'il fit mettre sur ces genoux.

Florent se débattait mais Eliott était bien trop puissant et il avait l'arme. Eliott s'arrangea pour orienter le cul de l'adolescent vers Max. Ce dernier regardait la scène. Eliott suça son majeur et l'enfonça dans le cul du garçon qui poussa un gémissement. Rapidement, plusieurs doigts forcèrent ce strict passage de sorte qu'Eliott sentait désormais la chaleur du corps de sa victime.

Après de longs instants, l'orifice était prêt à recevoir le sexe épais d'Eliott. Sous le regard abasourdi de Max, Eliott commença des vas et viens saccadés comme si Florent s'était transformé en un beurre chaud et salé. Pour la première fois, Eliott ne contint pas la vive émotion qui l'envahissait. Après avoir dégluti, il se mit à gémir au rythme de ses propres vas et viens jusqu'à la décharge finale et abondante.

Il se retira de Florent qui possédait un étrange regard de soulagement mêlé de satisfaction.

Eliott regarda ensuite Max. Il avait décelé en ce partenaire une partie intime de ses désirs.

Bien que Florent fut épuisé, il le menotta à la même barre que son ami. Pour la première fois, les deux corps juvéniles se faisaient face. Eliott s'amusa à faire passer l'opinel de Florent le long des deux corps accrochés. Il dansait sur un téton puis sur un nombril. Il insistait davantage sur le corps de Max que celui, fatigué, de Florent. Max tressaillit à la froideur du couteau.

Eliott prit enfin les deux paires de couilles entre ses doigts épais et y déposa délicatement la longue et froide lame.

- Et dire que je pourrai vous castrer en un geste... Mais ce n'est pas le jeu...
- Continuez le jeu, s'il vous plait... Dit Max.
- Pour encore 500 euros, j'aimerai que tu mêles ta langue à la sienne, lui demanda Eliott..

Max regarda la bouche délicate de son partenaire au regard désormais éteint.

Florent refusa l'ordre. Alors Max alla chercher la bouche légèrement duvetée de son partenaire qui, fatigué de temps d'initiative, finit par céder et offrir l'humidité de sa salive.

Eliott branla les deux sexes qu'il avait entre les mains. Il avait laissé tomber le couteau par terre. Il sentit le sexe de Max se durcir rapidement. Sa queue rigide était fine et longue mais son gland était rond comme un petit abricot.

Florent découvrit que Max était excité par la situation et le regarda apeuré.

- Ta encore perdu, dit Eliott à Florent.

Eliott détacha Florent et orienta sa tête vers la queue de son ami.

- T'es dégueulasse ! Dit Florent à Max.

Il n'eut pas le temps de dire un mot de plus. Le gland de Max était désormais au plus profond de la bouche de son partenaire accroupi. Il n'avait jamais ressenti pareille sensation. La bouche de son copain était chaude et douce. Il éjacula rapidement sans se soucier de savoir ou coulerait le sperme.
Eliott paya les deux garçons. Il les remercia et les conduisit à la station de métro la plus proche. Max et Florent ne se rencontrèrent plus jamais.