Insolente insolation



Ce texte est écrit à titre purement récréatif. Il n'a pas pour but d'encourager les conduites sexuelles non désirées, contraintes ou à risque.

En plein cœur du mois d'août, Paris frôle souvent les 30 degrés en journée. Le calme des rues rend la ville plus accueillante, les embouteillages se font plus rares.

Mathieu et Raphaël font partis des pompiers de Paris depuis une dizaine d'année. A 28 ans, Raphaël est cependant moins expérimenté que son collègue qui est passé par différents métiers auparavant. Des années d'entraînement physique avaient transformé leurs corps en un outil puissant prêt à servir la France.

En ce mercredi 11 août, ils pourissaient dans leur caserne du 16ème arrondissement. Cela ne leur plaisait pas car ils se sentaient inutiles. Même de bon matin, ils faisaient trop chaud pour aller courir. D'autre part, l'unité était presque vidée de ses effectifs. Certains étaient en vacances. Vu le manque d'activité, d'autres avaient trouvé un prétexte pour s'absenter. Cette situation n'était pas si rare en été, tout le monde savait que les casernes arrivaient à se coordonner en cas de besoin et que personne n'était absolument indispensable.

A 15h12, le standard central les sollicita pour une intervention. Raphaël décrocha le téléphone en l'absence de la secrétaire.

- Bonjour, jeune homme 16-18 ans faisant un malaise avenue Paul Doumer, niveau de la station service. Probable insolation. Intervention demandée.
- Ok, on envoie une équipe.

La formule fit sourire Raphaël. L'équipe, c'était lui et Mathieu. Il avait même fallu demander à Wolfo de conduire le véhicule d'intervention, c'était un semi-volontaire d'origine espagnole habituellement chargé de la maintenance technique de la caserne.

Raphaël et Mathieu se déshabillèrent dans le hall d'entrée pour enfiler leur combinaison une-pièce. A cette occasion, il conservait habituellement leurs t-shirt mais déboutonnait et ôtait leur pantalon. Ils se retrouvaient en slip au regard de tous.

Mais cela ne les dérangeait pas. Le corps est l'outil de travail du pompier. Leurs métiers les poussent à ne pas réellement le dissimuler. Dans le cadre du service, des visites médicales, ou plus fréquemment des massages thérapeutiques, sont proposés, à l'occasion desquelles la nudité intégrale est de rigueur. Mathieu et Raphaël aimaient ces moments. Ils n'avaient pas à rougir de leurs corps robustes et musclés.

Au début de sa carrière, vers 20 ans, Raphaël avait eu un peu de mal avec cette absence forcée d'intimité. Mais au fil des années, il avait appris à lâcher prise, voire à prendre un certain plaisir à s'exhiber à la demande. Il savait que si la majeure partie des hommes du milieu était hétérosexuelle, bon nombre d'entre eux appréciait de voir le corps nu d'un homme lorsque celui-ci était en pleine force de l'âge.

Après 5 ans d'expérience, Raphaël intégra la caserne de Meaux. Il avait 25 ans, en faisait 20, et se retrouvait le plus jeune de l'équipe. C'est dans ce lieu qu'il découvrit que la réputation sulfureuse des pompiers n'était pas un mensonge. Lors de sa première semaine, on lui fit comprendre que son statut de benjamin l'obligeait à obéir aux désirs ponctuels des uns et des autres. En paix avec son propre corps, il offrit quelques fellations à certains de ses collègues qu'il avait lui-même sélectionnés pour leur beauté. Il refusa des rapports avec des pompiers qu'il trouvait laids. Cela finit par se savoir et au bout de quelques semaines, on lui proposa de mettre un terme à ce bizutage en choisissant de se faire prendre par deux chefs d'équipe devant les 17 sapeurs de la caserne. Il accepta. Cela se déroula le 12 décembre. Raphaël s'offrit si bien à ses deux amants que de nombreux garçons s'étaient masturbé sans retenu. Grâce à quelques photos et films qui circulaient au sein des casernes, une réputation nationale s'était construite autour de lui.

Raphaël ne gardait pas un mauvais souvenir de ses évènements. Il était en paix avec lui-même et avait élargi ses appétits sexuels. Il avait un amant de temps en temps mais ne pratiquait plus rien au sein de la caserne. Seul le regard lubrique d'un médecin ou d'un collègue lui rappelait son statut passé.

Désormais en slip et t-shirt, Raphaël était sur le point d'enfiler sa combinaison. Il était déjà concentré sur l'intervention à venir.

Mathieu ne manquait pas l'occasion pour admirer les cuisses légèrement velues de son collègue et l'imposante paire de couilles que l'on devinait sous le tissu.

- Garde simplement ton slip sous la combi, tu vas crever de chaud, conseilla paternellement Mathieu.

Raphaël trouva l'idée bonne et se trouva quelques instants avec le seul sous-vêtement sur lui. Mathieu savourait sa musculature, la forme rebondie de ses fesses et son visage toujours juvénile.

Les deux hommes montèrent à bord du large véhicule. Ils ne considéraient pas cette intervention comme à haut risque mais prenaient les choses avec sérieux.

Mathieu fut étonné de voir que Paris était vide. Sur les lieux de l'incident, seul le responsable de la station service était à proximité. C'était un homme petit et moustachu d'origine nord-africaine d'une cinquantaine d'années. Il expliqua que le jeune garçon n'avait pas eu assez pour acheter une boisson et qu'il ne tenait plus vraiment sur ces jambes en sortant du magasin.

L'adolescent était assis sur le trottoir, il n'avait pas mauvaise mine. Les pompiers l'interpellèrent. Comme toute réponse, il leva la tête vers eux. Il bredouilla qu'il s'appelait Jonathan, qu'il n'habitait pas loin et qu'il fallait juste le raccompagner chez lui.

Mathieu comme Raphaël furent interpellés par la beauté du garçon. De la sueur perlait sur son visage glabre et fin. Il avait un large front et des yeux bleus en amande qui affichaient une certaine maturité derrière le voile de l'enfance. Il était brun, assez mince et portait un bermuda beige, de vieilles baskets et un t-shirt noir. En position assise, les deux pompiers pouvaient voir le boxer blanc à bande noir qui masquait ses fesses.

Ils l'aidèrent à se relever en le prenant par les épaules.

- Viens mon grand, on va t'allonger dans le camion et bien s'occuper de toi.

Raphaël pensa que cette phrase n'était pas innocente. Elle eut le don de l'exciter sous sa combinaison.

Le camion démarra. Le garçon était allongé, les yeux mi-clos, peu attentif à ce qu'il se passait.

- Tu fais le diagnostique, dit Mathieu.
- Adolescent de 16-18 ans, environ 65kg...
- Attends...

Mathieu plongea sa main dans le bermuda du garçon et en sortit un portefeuille.

- 16 ans.
- Adolescent de 16 ans, 65 kg...

Il souleva la paupière droite de la victime.

- Pupille réactive, tension un peu basse, ne fixe pas son attention, pas de signe clinique grave... Malaise probablement dû à la chaleur.
- Rien à ajouter, on l'emmène à l'hôpital... Déshabille-le...
- On le déshabille ? C'est nécessaire ?
- Il a chaud je te rappelle... C'est pas déconseillé...
- Ok.

Raphaël était un peu gêné. Ca n'était pas nécessaire. Il ne voulait pas que cela tourne mal. Il rajouta pour se donner bonne conscience :

- On le prévient ? Il est pas totalement inconscient...

Mathieu prit le garçon par le menton et dit avec ironie.

- On va ôter tes vêtements... Tu seras plus à l'aise, tu as chaud. On va voir si tu as tout ce qu'il faut...

Mathieu se tourna vers son collègue amusé.

- Il me fait bander ce ptit...
- Sois pro... Dit Raphaël.
- On est pro ! On est pas hors des clous !

Mathieu se déplaça vers les pieds du garçon et ôta les chaussures et les chaussettes sans grand ménagement.

- Occupe-toi de son t-shirt.

Raphaël essaya de faire coopérer le garçon pour que la tache soit plus simple. Ce dernier ne comprenait pas vraiment mais se laissait faire. Torse nu, il paraissait plus mince. Raphaël se rappelait de ce moment de la vie où le corps se forme doucement.

La peau du garçon était légèrement brunie, comme s'il était allé à la plage il y a peu. Pendant que Raphaël mettait le t-shirt humidifié par la sueur en boule, Mathieu déboutonna le bermuda et le fit glisser jusqu'en bas.

Le corps du garçon paraissait fragile au milieu des deux hommes. La fraîcheur qu'avait provoqué cet effeuillage sembla apaisé un peu le garçon. Les deux hommes n'étaient désormais plus séparés du sexe de la victime que par ce boxer serré et fin. La queue molle du garçon penchait sur le côté droit et les couilles étaient remontées sans doute du fait du choc.

Mathieu se pencha vers l'oreille du garçon et susurra :

- On va aussi t'enlever ton slip... Tu seras plus à l'aise.

Raphaël ouvrit grand les yeux. L'adolescent se contenta de gémir, le regard embrumi.

- Il peut reprendre conscience rapidement, dit Raphaël craintif mais excité par de telles initiatives.

Tout en réconfortant la victime, il glissa le boxer légèrement pour découvrir le membre.

- Voila... Bon garçon...

Il se tourna vers Raphaël.

- Il est déjà bien doté et bien poilu...

Effectivement, il était surprenant de voir que le pubis du garçon était assez poilu. Une queue y était endormie à la base de laquelle deux testicules ronds et volumineux pendaient.

Raphaël restait bouche bée, hypnotisé par l'érotisme de la situation.

Soudain, le conducteur se tourna et vit l'adolescent à poil.

- Ca c'est du secourisme, fit-il amusé.
- C'est purement médical ! Dit Mathieu d'un air entendu.

Mathieu se pencha au-dessus du ventre de l'adolescent. Il ouvrit la bouche. Une longue traînée de salive coula sur le bas ventre.

- Tu sais que tu as une très jolie queue, dit Mathieu à l'oreille du garçon dans les vapes. On aimerait te voir bander...

Du bout du doigt, il étala aussi largement qu'il put le liquide chaud et visqueux, provoquant quelques gémissements chez le garçon. Il décalotta ensuite le gland du garçon qui écarta légèrement les cuisses.

- Branle-toi Raph', T'en crève d'envie... Il va pas se réveiller, il est dans les vapes pour un bon quart d’heure. On a vu ça mille fois...

Raphaël était effectivement très excité. Il se mit coté gauche pour ne pas être vu par le conducteur. Il dézippa sa combinaison jusqu'à l'entrejambe. Torse nu, il passa hors du slip ses couilles et son sexe rigide. Mathieu découvrait pour la première fois le sexe bandant et légèrement courbé vers le haut de Raphaël. Raphaël commençait à se branler doucement, comme un petit garçon qu'il ne fallait pas surprendre.

Mathieu continua son jeu. Il saliva sur le téton du garçon qu'il massa longuement jusqu'à le faire pointer. Celui-ci était brun et entouré d'un léger duvet circulaire.

- Tu crois qu'il va se rendre compte si tu lui caresses la queue ?
- Sur le moment sûrement...

Mathieu prit un tube de lubrifiant initialement utilisé pour entuber les malades. Il étala le gel sur le torse du garçon. Puis il continua ses caresses sur les épaules, les bras, les cuisses et les mollets, si bien qu'au bout de quelques instants, le garçon luisait de toute part. Il finit par exécuter des mouvements de va-et-vients sur le sexe du garçon. Bien qu'il ne fut pas immédiatement réactif, ce dernier finit par offrir sa plus belle érection aux deux pompiers.

Même à moitié-inconscient, le garçon gémissait de telles caresses. Raphaël ôta complètement sa combinaison. A la demande de Mathieu, il s'enduisit de gel.

- Gare-toi un peu, demanda Mathieu au conducteur qui avait compris la situation et se rinçait désormais l’œil.

Mathieu dit à Raphaël qu'il pouvait glisser sa queue dans la bouche du garçon.

La bouche ne s'ouvrit pas tout de suite, Raphaël dut utiliser ses doigts pour ouvrir l'orifice. Mathieu et le conducteur admiraient le mouvement du bassin de Raphaël qui pénétrait désormais la victime par la bouche. L’adolescent avait la bouche sèche mais Raphaël mouillait d’excitation. La substance visqueuse qui enduit progressivement l’intérieur de la bouche facilita le mouvement.

Après quelques instants et alors que Mathieu ne cessait de branler le jeune garçon allongé, Raphaël se répandit dans la bouche du jeune homme. Du sperme coula le long de sa gorge et sur son visage mais la plupart des jets finir au fond du ventre du garçon.

Le conducteur se répandit sur le torse du garçon. Il avait sorti sa queue et se caressait discrètement depuis de longues minutes.

Toutes ces manœuvres avaient souillé d'une façon grossière le corps innocent du garçon. On s'attela à l'essuyer de longs instants avec des serviettes. Ces mêmes serviettes servirent à recouvrir le sexe du garçon alors que celui-ci reprenait doucement toute sa conscience. Le camion redémarra. Raphaël se rhabilla.

- Ou-suis-je ? Dit le garçon.

Sa voix venait de muer. Elle était douce.

- On t'emmène à l'hôpital, tu as fait une insolation. On t'a déshabillé comme le veut la procédure.
- D'accord...

Il s'arrêta, réfléchit et regarda les deux hommes.

- J'ai fait un rêve un peu étrange...
- Oui... On a vu... répondit Mathieu en lançant un regard vers la serviette sous laquelle était dissimulé le sexe encore rigide du garçon.

Le garçon rougit terriblement. Mathieu se contenta de lui faire un sourire. Ce sourire voulait dire : tu en as une belle, bien grosse pour ton âge et tu nous as offert un beau spectacle.

- Essaye de te rendormir maintenant... On s'occupe de toi. Raphaël, donne-moi l'aiguille.

Raphaël ne comprit pas tout de suite. Mathieu administra un anesthésiant léger et totalement superflu au garçon.

Au bout de quelques instants, le garçon replongea dans une semi-inconscience. Mathieu se déshabilla entièrement, laissant surgir un sexe endurci dont la taille impressionna même Raphaël.

Mathieu était devenu comme animal. Il balança négligemment les serviettes qui couvraient le garçon, et le tourna sur le ventre. Sans pudeur, il écarta violemment ses deux fesses rondes. Raphaël avait toujours pensé que l'anus était la partie la plus intime et la plus secrète du corps. Voici que celui de l'adolescent était observé et caressé sur toutes les coutures. Il était étroit, sans poil et plissé à trois endroits.

Mathieu se pencha vers l'oreille de Jonathan.

- On va finir ton rêve. Je vais t'inonder les entrailles.

Tout en branlant le sexe du jeune garçon, il travailla le jeune cul avec ses doigts puissants. Tout son arrière-train, fesses, trous et base du sexe compris, avait été inondé de gel lubrifiant. Il était évident qu'un tel engin pouvait blesser le garçon si des précautions n'étaient pas prises.

La victime éjacula sur la civière avant que Mathieu n'eut même pu le pénétrer. Mais finalement, après de multiples essais, le cercle de chair finit par céder sous la pression du gland épais. Mathieu fit trembler le camion par ses coups de boutoirs. Ses gémissements étaient roques et animal. L'adolescent ne paraissait pas particulièrement gêné de cette intrusion qui, comme l’observait les témoins, élargissait pourtant considérablement son orifice. L'anesthésie faisait effet. On pouvait même voir un léger sourire traverser le jeune visage.

Un ultime coup entre les reins, beaucoup plus fort que les autres, permit au sperme chaud de passer du corps de Mathieu à celui de Jonathan. Mathieu s'extasia.

Avant d'arriver à l'hôpital, les trois hommes lavèrent le corps du garçon et attendirent que l'anesthésie passe.

Il nettoyèrent également le camion pour effacer toute trace. Pour brouiller le témoignage de Jonathan, ils le rhabillèrent de sorte que ce dernier ne se souvint de rien d'autre qu'un rêve sur lequel il ne souhaitait pas s'étaler.

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