Rencontre initiatique à Paris

Ce texte est écrit à titre purement récréatif. Il n'a pas pour but d'encourager les conduites sexuelles non désirées, contraintes ou à risque.

Eliott était un grand gaillard d'une trentaine d'années. Il n'avait pas de travail depuis maintenant plusieurs mois et était d'une humeur morne. Il avait passé la soirée dans un café à contempler son verre de whisky au milieu des volutes de fumée. Pourtant, il ne fumait pas et faisait très attention à son apparence physique. Se rendant chaque semaine à la piscine, il avait fini par acquérir un corps musclé et longiligne dont il était fier.

Eliott s'amusait avec les Parisiens dont il scrutait les singeries dans le métro. Ce soir-là, le métro était presque vide. Deux adolescents entrèrent dans la rame avec un pack de bières à la main. Ils avaient déjà un peu bu et s'amusaient d'un rien.

Le plus jeune des deux garçons s'est assis à côté d'Eliott. Son visage avait les traits délicats et naïfs de la jeunesse. Il avait des cheveux bruns mi-longs ébouriffés et portait une large chemise rouge ouverte sur le torse. Cela laissait entrevoir une poitrine imberbe et fragile. Comme il appuyait ses avant-bras sur ses genoux, Eliott, de sa place, eut tout loisir de contempler deux tétons légèrement saillants et un ventre plat et blanc.

Les deux garçons parlaient d'un bar de l'autre côté de Paris dont ils s'étaient fait jeter. Cela ne semblait pas les gêner plus que ça.

L'autre garçon était grand et longiligne. Son visage était plus dur. Il avait des yeux noirs profonds et des cheveux mi-longs comme son ami. Il portait, comme bon nombre, de ses congénères un jean qui lui tombait presque à mi-fesses. Eliott s'était toujours demandé comment les jeunes mecs faisaient pour que leurs frocs ne leur tombent pas aux chevilles.

Il contemplait d'ailleurs longuement la forme de ce cul offert à la vue de tous, simplement dissimulé par le mince tissu d'un boxer gris moulant.

Le jeune mec assis s'appelait Flo et son pote Max.

- Faut qu'on trouve un endroit pour faire la fête, je sais pas n'importe où... Lança Flo.

Pour une raison indéterminée, le hasard sûrement, Max répondit en pointant Eliott du doigt :

- On a qu'à aller chez lui !

Sa voix était ralentie par l'alcool. Flo se contenta de rire bêtement mais il était un peu gêné.

- Si vous voulez, dit calmement Eliott. Mais j'habite à Vincennes.
- Eh ben c'est sur la ligne...
- Mais attends, si ça se trouve, t'as pas de bière !
- Si j'ai de l'alcool.
- Cool !
- Mais je gagne quoi moi dans l'histoire ? Deux ados chez moi, tu parles d'un cadeau.
- Ben je sais pas ! Faut être solidaire entre jeunes !
- La solidarité... On fait rien avec ça.

Eliott sortit deux billets de 100 euros qu'il tendit aux deux inconnus.

- Vous m'excitez tous les deux avec votre cul à moitié à l'air. J'aime ça et c'est pour ça que je vous paye. Vous voulez vous amuser à trois ? On va s'amuser à trois chez moi et vous gagnerez 5 fois la mise.

Les deux garçons restèrent bouche-bée. Heureux d'avoir empoché un billet en trois secondes mais atterrés par la proposition qui venait de leur être faite.

Ils rirent puis bredouillèrent en se coupant la parole :

- Mais... Toi tu y vas pas par quatre chemins...
- On a des têtes de pédés ou quoi ?
- Les gars, dit Eliott, prenez vos responsabilités trois secondes. Je vous demande pas une réponse de gamin acnéique sorti de l'école. Dites-moi juste si ça vous tente d'empocher 500 biftons en vous amusant ou pas. C'est simple.

Les deux mecs se regardèrent et rigolèrent.

- Ouais, on vient avec toi ! Ca va être marrant...

Eliott hocha la tête. Le reste du trajet fut interrompu par les blagues plus ou moins potaches des deux garçons désormais pris dans les filets de l'homme.

- Et il consiste en quoi ton jeu ? Dit Flo.
- C'est des jeux de garçons. Il faut juste en avoir dans le slip. Ca restera gentil...
- Tu nous toucheras pas pour 500 biftons, on te prévient.

Max sortit discrètement de son jean une bombe lacrymogène.

- J'en avais pas l'intention, je veux juste...

Il baissa sèchement mais avec précision le jean et le caleçon de Max, ce qui eut pour effet de découvrir le haut de son petit cul blanc. Surpris, Max se recouvrit maladroitement et se contenta de rire nerveusement.

- ... En voir un peu plus...

Arrivé à l'appartement, Eliott offrit deux bières aux garçons. L'appartement était mal rangé mais assez grand. Les deux garçons s'étalèrent sur le canapé.

- Tu sais qu'on est pas des putes ? Dit Florent qui paraissait à l'aise.
- Qui a dit ça ?
- Tu as l'air de vouloir nous payer pour faire des trucs...
- Oui, ça c'est vrai. Vous avez quel âge au fait ?
- 16 et 17.
- On va commencer soft alors.

Eliott inséra un dvd dans le lecteur. La télé s'alluma sur un trio de jeunes mecs. L'un se faisait pénétrer et suçait le troisième.

- Rien à foutre de ce qu'ils peuvent faire ! Dit Max.

Flo semblait lui un peu plus dégoûté. Il n'avait jamais vu de mecs baiser ensemble.

- Florent, t'es avec nous ?
- Ouais, c'est dégueulasse... Je suis pas homo.

Il but une gorgée de bière.

Eliott tendit un billet de 100 euros à chacun des deux garçons.

- C'est pourquoi ? Dit Max, tu payes facile toi !
- Je vais me déssapper, je vous paye pour que vous me regardiez.
- Vas-y mec, te gêne pas !

Les deux mecs éclatèrent de rire et sifflaient lorsqu'Eliott ôta soigneusement ses vêtements.

Après s'être mis pieds nus, L'homme ôta son t-shirt. Les deux garçons ne s'imaginèrent pas découvrir un corps si bien taillé. Des épaules larges et des abdos sculptaient un corps sans poil et sans réelle imperfection.

Eliott déboutonna et baissa son jean et laissa apparaître un slip uniforme.

Les deux garçons ne manquèrent pas de voir que son sexe parfaitement endurci n'allait pas longtemps rester dans ce petit morceau de tissu. Le plus calmement du monde, Eliott ôta son slip et laissa fatalement tendre son membre de 18 cm. Ce dernier était couronné d'un gland rougi par l'excitation.

Les deux jeunes garçons éclatèrent à nouveau de rire devant une si naturelle impudeur.

- Tu cache bien ton jeu mon salaud, dit Max.
- Mais ça nous excite pas tu sais... Poursuivit Florent.

Eliott s'approcha des deux jeunes gens et s'assit sur le sofa à coté deux, le sexe rigide.

- Pour 100 euros de plus, on fait le concours de celui qui a la plus petite.

Florent se leva brusquement et sortit un couteau à cran d'arrêt de sa poche.

- Bon, ça suffit les conneries ! Ton film de cul, ta queue, on en a rien à foutre ! Par contre tu as l'air d'avoir des biftons. Alors tu nous les files si tu veux pas que je t'ouvre une couille !

Ce discours cadencé n'impressionna nullement Eliott. Florent transpirait et était à la limite de trembler.

- Quelle virilité, dit-il, ça me plait ! Dit Eliott avec provocation.
- Ta gueule !
- OK...

Max était dépassé par la situation. Il n'avait jamais vu son pote faire ça et ne s'y attendait pas.

Eliott se déplaça nu vers une petite commode derrière laquelle était dissimulé un pistolet automatique. Il fit mine d'ouvrir la commode et brandit l'arme devant les garçons.

- J'ai dit, on joue à qui a la plus petite... Mais visiblement, ça ne vous plait pas d'être payé. Ca me va...

Eliott se rapprocha de Florent. Max était toujours assis. Il était inquiet mais les effets de l'alcool dédramatisait violemment la situation.

Eliott se plaça derrière Florent et pointa l'arme sous son menton. Le garçon sentait l'alcool et un peu la sueur.

- Pose ton petit couteau d'écolier, demanda Eliott en souriant.

Florent, tremblant légèrement de peur, fit immédiatement tomber l'opinel au sol. Il sentait le sexe dur d'Eliott contre sa fesse.

- Exceptionnellement, comme tu ne veux pas te déshabiller, c'est moi qui vais le faire.

Il défit un à un les boutons de la chemise de Florent. Quand ceux-ci furent tous libérer, il passa sa large main sur le torse nu du garçon qui frémit.

Sa main passa de la poitrine au bas du ventre et arriva au bouton du jean trop large. Il ouvrit délicatement le jean qui tomba immédiatement au cuisse du garçon. Max regardait incrédule la scène.

- Enlève, dit Eliott au creux de l'oreille de Florent qui libéra le jean en levant un pied, puis l'autre.

Le garçon ne portait plus que son boxer et ses chaussettes. Un large miroir faisait face aux protagonistes au-dessus de la cheminée. Cela permit à Eliott de profiter de ce corps fragile qui se trouvait désormais entre ses doigts. Il plongea sans état d'âme sa main dans le boxer pour sentir sous ses doigts le sexe de Florent.

Puis Eliott eut un remord. Il ne fallait pas les toucher. Pas encore. Il baissa le boxer et vit le sexe de Florent.

- Tu l'avais déjà vu, sa queue, demanda Eliott à Max.
- Non...
- Réponds pas ! Fit Florent.
- Il est bien doté... Il faudrait qu'elle durcisse un peu...

Son sexe était plus long que fin et peu poilu. Eliott s'était demandé s'il s'était épilé puis avait rejeté l'hypothèse, se souvenant de l'âge des deux jeunes gens. Ses couilles tombantes était un des rares vrais signe de la virilité de Florent.

- A toi, dit Eliott en regardant Max. Ou alors tu veux que je te déshabille comme ton copain...
- On sera payé ? Demanda Max.
- Toi oui, ton pote qui pense qu'à mon fric, on verra...

Max se déssapa sans se faire prier. Avec rapidité comme pour en finir avec ce jeu humiliant.

Max était définitivement plus musclé que son copain. Il avait des bras et des épaules plus larges. Davantage de poils venaient ça et la dessinaient son corps. Ses jambes étaient même bien velues.

Lorsqu'il baissa son boxer, un sexe de bonne taille apparut. Eliott devinait qu'il ne s'agissait pas d'une queue totalement au repos, sans doute un tout début d'érection. Florent pensait simplement avoir un sexe plus petit que ses "camarades de jeu".

- Bon voila, t'es content ? Dit Max.
- Content ? Oui, regarde comme vous me faites bander...
- File le fric...
- C'est pas fini, j'ai dit que c'était le concours de celui qui a la plus petite... C'est Florent qui a gagné... Il a droit a un gage...

Sans lâcher son flingue, Eliott alla chercher deux paires de menottes dans la penderie. Il attacha Max à la solide barre qui permettait aux spots électriques d'éclairer l'appartement. La barre était haute de telle sorte que Max touchait la moquette avec le seul bout de ses doigts de pieds.

Eliott admira quelques instants le corps ainsi pendu. Il le caressa longuement, ne manquant pas de passer sa main au niveau des couilles et de la raie du jeune cul désormais sans défense. Max se contenta de fermer les yeux.

- Détends-toi, dit Eliott au creux de l'oreille de Max.

Reprenant ses esprits, Eliott pointa ensuite son pistolet vers Florent. L'excitation provoquée par Max allait être utilisée pour le gage de Florent qu'il fit mettre sur ces genoux.

Florent se débattait mais Eliott était bien trop puissant et il avait l'arme. Eliott s'arrangea pour orienter le cul de l'adolescent vers Max. Ce dernier regardait la scène. Eliott suça son majeur et l'enfonça dans le cul du garçon qui poussa un gémissement. Rapidement, plusieurs doigts forcèrent ce strict passage de sorte qu'Eliott sentait désormais la chaleur du corps de sa victime.

Après de longs instants, l'orifice était prêt à recevoir le sexe épais d'Eliott. Sous le regard abasourdi de Max, Eliott commença des vas et viens saccadés comme si Florent s'était transformé en un beurre chaud et salé. Pour la première fois, Eliott ne contint pas la vive émotion qui l'envahissait. Après avoir dégluti, il se mit à gémir au rythme de ses propres vas et viens jusqu'à la décharge finale et abondante.

Il se retira de Florent qui possédait un étrange regard de soulagement mêlé de satisfaction.

Eliott regarda ensuite Max. Il avait décelé en ce partenaire une partie intime de ses désirs.

Bien que Florent fut épuisé, il le menotta à la même barre que son ami. Pour la première fois, les deux corps juvéniles se faisaient face. Eliott s'amusa à faire passer l'opinel de Florent le long des deux corps accrochés. Il dansait sur un téton puis sur un nombril. Il insistait davantage sur le corps de Max que celui, fatigué, de Florent. Max tressaillit à la froideur du couteau.

Eliott prit enfin les deux paires de couilles entre ses doigts épais et y déposa délicatement la longue et froide lame.

- Et dire que je pourrai vous castrer en un geste... Mais ce n'est pas le jeu...
- Continuez le jeu, s'il vous plait... Dit Max.
- Pour encore 500 euros, j'aimerai que tu mêles ta langue à la sienne, lui demanda Eliott..

Max regarda la bouche délicate de son partenaire au regard désormais éteint.

Florent refusa l'ordre. Alors Max alla chercher la bouche légèrement duvetée de son partenaire qui, fatigué de temps d'initiative, finit par céder et offrir l'humidité de sa salive.

Eliott branla les deux sexes qu'il avait entre les mains. Il avait laissé tomber le couteau par terre. Il sentit le sexe de Max se durcir rapidement. Sa queue rigide était fine et longue mais son gland était rond comme un petit abricot.

Florent découvrit que Max était excité par la situation et le regarda apeuré.

- Ta encore perdu, dit Eliott à Florent.

Eliott détacha Florent et orienta sa tête vers la queue de son ami.

- T'es dégueulasse ! Dit Florent à Max.

Il n'eut pas le temps de dire un mot de plus. Le gland de Max était désormais au plus profond de la bouche de son partenaire accroupi. Il n'avait jamais ressenti pareille sensation. La bouche de son copain était chaude et douce. Il éjacula rapidement sans se soucier de savoir ou coulerait le sperme.
Eliott paya les deux garçons. Il les remercia et les conduisit à la station de métro la plus proche. Max et Florent ne se rencontrèrent plus jamais.

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